Je m'apprêtais à poster la compo possible de ce samedi dans le sujet Transferts, mais ce sera sûrement plus adapté ici.
Côté VA :
Le retour de Robail pourrait donner un 4-3-3 de ce style sur les deux prochains matchs (la défense pourrait ensuite changer avec le retour de Spano), en prenant en compte les états de forme :
Prior
Linguet - Ntim - Cuffaut - Abeid
D'Almeida - Diliberto - Masson
Cabral - Guillaume - Robail
Le 4-3-3 a bien marché contre le Havre donc Guégan pourrait repartir avec ce système. Guclu, qui était titulaire pour la première fois, pourrait retrouver le banc.
A moins que Robail ne débute sur le banc pour son retour, et fasse son entrée après l'heure de jeu.
Côté PFC :
On affronte un Paris FC qui avait gagné à l'aller 1-0, assez logiquement lors de la 2e journée. Leur attaquant et buteur ce soir-là (G.Laura) semblait être parti pour signer une jolie saison, avec une deuxième réalisation en deux rencontres. Finalement, au soir de la 20ème journée, son compteur ne sera qu'à 4 buts. Il laisse ainsi la place de meilleur buteur du club au milieu offensif Julien Lopez, frère de l'ex-marseillais Maxime Lopez, et auteur de 5 buts.
Des matchs aux scénarios souvent âpres et disputés, le PFC comptant déjà 43 cartons jaunes et 4 rouges après 19 journées, et qui est l'équipe qui a commis le plus de fautes (321).
Etat de forme et stats
Après un très gros début de saison, les Parisiens patinent depuis 9 matchs : 1 V - 4N - 4D.
Dont 3 défaites consécutives à l'extérieur contre 3 gros (Troyes, Clermont, Toulouse).
De notre côté, nous n'avons plus gagné à domicile depuis VAFC-Caen, fin septembre, soit l'avant-dernier match avec du public.
Depuis le huis clos, on n'a donc plus jamais gagné à domicile : 3D et 2N.
Paris est l'une des rares équipes de L2 à encaisser plus de buts en 1re MT qu'en 2ème MT (14 vs 8, soit l'écart le plus important du championnat en faveur de la première période).
Mais ils ne perdent qu'une fois sur deux après avoir été mené au score.
Dans sa dernière interview d'après-match, Girard déplore que ses joueurs courent trop souvent après le score. Une équipe qui a tendance à être trop "à réaction".
Côté VA :
Le retour de Robail pourrait donner un 4-3-3 de ce style sur les deux prochains matchs (la défense pourrait ensuite changer avec le retour de Spano), en prenant en compte les états de forme :
Prior
Linguet - Ntim - Cuffaut - Abeid
D'Almeida - Diliberto - Masson
Cabral - Guillaume - Robail
Le 4-3-3 a bien marché contre le Havre donc Guégan pourrait repartir avec ce système. Guclu, qui était titulaire pour la première fois, pourrait retrouver le banc.
A moins que Robail ne débute sur le banc pour son retour, et fasse son entrée après l'heure de jeu.
Côté PFC :
On affronte un Paris FC qui avait gagné à l'aller 1-0, assez logiquement lors de la 2e journée. Leur attaquant et buteur ce soir-là (G.Laura) semblait être parti pour signer une jolie saison, avec une deuxième réalisation en deux rencontres. Finalement, au soir de la 20ème journée, son compteur ne sera qu'à 4 buts. Il laisse ainsi la place de meilleur buteur du club au milieu offensif Julien Lopez, frère de l'ex-marseillais Maxime Lopez, et auteur de 5 buts.
Des matchs aux scénarios souvent âpres et disputés, le PFC comptant déjà 43 cartons jaunes et 4 rouges après 19 journées, et qui est l'équipe qui a commis le plus de fautes (321).
Etat de forme et stats
Après un très gros début de saison, les Parisiens patinent depuis 9 matchs : 1 V - 4N - 4D.
Dont 3 défaites consécutives à l'extérieur contre 3 gros (Troyes, Clermont, Toulouse).
De notre côté, nous n'avons plus gagné à domicile depuis VAFC-Caen, fin septembre, soit l'avant-dernier match avec du public.
Depuis le huis clos, on n'a donc plus jamais gagné à domicile : 3D et 2N.
Paris est l'une des rares équipes de L2 à encaisser plus de buts en 1re MT qu'en 2ème MT (14 vs 8, soit l'écart le plus important du championnat en faveur de la première période).
Mais ils ne perdent qu'une fois sur deux après avoir été mené au score.
Dans sa dernière interview d'après-match, Girard déplore que ses joueurs courent trop souvent après le score. Une équipe qui a tendance à être trop "à réaction".